- Comment vérifier les images des réseaux sociaux ? ;
- Les sites de e-commerce affichent de gros rabais… presque tous très exagérés démontre une étude de l’UFC Que Choisir (format PDF). Voir aussi Selon l’UFC-Que Choisir, les e-commerçants vous mentent sur les rabais affichés ;
- Deux récents épisodes du 56Kast qui me tiennent à coeur :
- 56Kast #63 : La «dégooglisation» du monde avance bien, avec bien sûr Pierre-Yves Gosset, de Framasoft ;
- 56Kast #64 : où je parle de Let’s Encrypt, l’autre principal sujet étant… Mozilla (mais je l’ignorais avant d’arriver sur le plateau !)
- Comment un historique de recherches Google aurait mené un innocent à 3 semaines d’assignation de résidence. Il pensait n’avoir rien à cacher, il a fait quelques recherches sur Google pour comprendre comment il avait attrapé une maladie probablement professionnelle, mais il s’est retrouvé coincé 3 semaines assigné à résidence sur ce qui semble être la base de ses recherches Google. Rappelons que l’assignation à résidence consiste à pointer trois fois par jour au commissariat et de demeurer à son domicile de 20h à 6h du matin, sans jamais quitter la commune ;
- Une journée avec un assigné à résidence, par Télérama ;
- Tellement vrai et tellement important : Accepter l’échec, un défi pour les entrepreneurs européens. Peut-être un article sur le sujet prochainement dans ma rubrique Life Hacking ?
- Vases communicants : alors que le Brésil bloque WhatsApp pendant 48h, Telegram gagne 1,5 millions d’utilisateurs ;
- Quelques chiffres de la CNCTR : « Ces deux derniers mois, les services secrets français ont demandé 400 autorisations afin de surveiller des cibles par le biais des nouveaux outils permis par la loi sur le renseignement. »
- Sortir de l’état d’urgence, un appel d’une centaine d’organisations, dont La Quadrature. Elles appellent les pouvoirs publics à :
- jouer leur rôle de garants de la défense des droits et des libertés publiques ;
- rétablir, sans délai, le droit plein et entier de manifester ;
- cesser les perquisitions et les assignations à résidence arbitraires et à agir dans le cadre de procédures judiciaires ;
- mettre en place des garanties effectives de contrôle ;
- lever l’état d’urgence ;
- renoncer à une réforme constitutionnelle préparée dans l’urgence et au contenu inacceptable.
- L’EFF sort Panopticlick 2.0, une nouvelle version de leur outil permettant de voir l’empreinte laissée par votre navigateur. Le mien, par exemple, malgré le blocage de traqueurs, a une empreinte unique (parmi les 6 millions de navigateurs testés pour l’instant). J’en parlais il y a 6 ans déjà ;
- J’ai trouvé, sur le site de Tetue, des photos d’oeuvres par le street artist Banksy, et le texte ci-dessous.
Steve Jobs était le fils d’un migrant syrien, rappelle le street-artiste britannique Bansky, qui a signé un pochoir représentant Steve Jobs, un Mac à la main, un baluchon sur l’épaule, au milieu des tentes de réfugiés, de la « jungle » de Calais.
Son père avait fui Homs, la troisième ville syrienne. Fils d’un immigré syrien étudiant aux État-Unis et d’une jeune femme dont les parents, en « bons » catholiques, refusaient un mariage mixte, Steve Jobs fut adopté par un couple californien. « Je pense que s’il avait vécu en Syrie, il n’aurait rien pu réaliser de tout ce qu’il a fait, ou alors il aurait choisi de quitter la Syrie » déclarait un jeune de Damas, à la mort de Jobs.