Standblog

13 réactions

• 1 De David, biologeek - 07/11/2008, 19:04

  Trackback manuel : http://www.biologeek.com/2008/11/vo...

• 2 De Fakir - 07/11/2008, 21:20

  Serait ce la suite de votre allégorie sur les guerilleros que vous aviez cité il y a quelque 4 années à Montpellier ?

  D'ailleurs exite t'il un article sur ce sujet ? En effet j'aimerais bien me raffraichir la mémoire

• 3 De somebody - 07/11/2008, 22:01

  Je pense qu'il n'est pas completement a cote de la plaque:
  http://apple.slashdot.org/comments....

• 4 De lrbabe - 07/11/2008, 23:36

  J'ai déjà mon intro, il manque le développement et la conclusion...

  L'information est aujourd'hui partout. L'Homme produit de l'information pour, ou plutôt à destination des autres. Son intérêt à favoriser sa diffusion ; pour d'évidentes raisons économiques, sociales, idéologiques, ... ; suffit à expliquer les moyens engagés dans le développement des médias de l'information. Depuis qu'il produit de la connaissance, sciences, techniques et industries sont mises à contribution et stimulées par son besoin de la propager. Cette dynamique se constate de l'invention de l'écriture à celle de l'informatique, en passant par celle de l'imprimerie, de la radiophonie, de la télévision...
  Tout porte à croire que l'ère d'Internet est celle d'une nouvelle révolution alors que l'information peut être reproduite et conservée sans contrainte puis transmise sans délai aux quatre coins du monde.
  Le rôle de l'informaticien dans cette ère est d'accélérer encore les flux d'informations en facilitant son acquisition, son traitement, sa gestion, sa distribution ; de l'émetteur aux multiples récepteurs. Pour cela il développe des interfaces, des programmes, des architectures, des protocoles en se pliant à des contraintes de rapidité, de fiabilité et de sécurité.

  Quand les différents flux auxquels l'Homme est quotidiennement exposé ont une influence incontestable sur son être, il lui revient de se questionner sur le contenu, sur l'origine, sur la pertinence, sur la finalité et sur son interaction avec l'information. Il se doit d'adopter une attitude critique vis-à-vis de celle-ci afin de rester sujet et de ne pas être juste cible. De même, si les médias sont étymologiquement neutres vis à vis de l'information – ce ne sont que des moyens de diffusion – il faut mesurer l'importance de leur maîtrise afin d'éviter que le contrôle des médias ne se centralise et que leur usage ne soit détourné au profit d'intérêts particuliers, de logiques mercantiles.
  Internet est un médium décentralisé par dessein, dont toute tentative de contrôle a jusqu'alors pu être contournée. L'informaticien apparaît à une position privilégiée pour en augmenter l'intérêt, en étendre la portée et l'agrémenter de nouveaux usages. Pour cela il doit masquer la complexité de ces nouvelles technologies sans pour autant retirer à l'utilisateur la maîtrise de l'information et en favorisant l'universalité de ce média.

• 5 De Remue-méninges - 08/11/2008, 00:17

  Je ne suis pas un spécialiste. Mais...

  Il me semble que *l'auteur d'un logiciel, c'est comme le concepteur d'un outil* (un marteau par exemple). Pour moi, un logiciel, c'est un outil... sauf qu'au lieu d'être l'extension du corps, c'est un peu en plus l'extension de "l'esprit" (le logiciel influe sur la façon de voir les problèmes/défis/etc.). Le logiciel doit aussi, comme l'outil : être bien conçu, être sujet à formation, savoir être exclu quand il n'est pas adapté (comme un marteau peut bousiller la santé de son utilisateur s'il n'a pas été bien conçu ou s'il n'est pas utilisé correctement... un logiciel peut faire perdre du temps et rendre idiot son utilisateur, bousiller le format des fichiers)

  Et un logiciel ça *remplace aussi un peu une personne qui connaissait son métier*... Maintenant, c'est à l'utilisateur de s'occuper de ça (par exemple l'orthographe, la grammaire, la typographie, la mise en page, etc.). Alors le logiciel, avec ces réglages par défaut aussi, va avoir une énorme influence sur les gens, sur tout un secteur... (il n'y a qu'à voir la règle typographique inventé de toute pièce comme quoi on ne met pas d'accents sur les majuscules... tout ça sûrement à cause d'un logiciel ou d'un type de clavier)

  Et puis avec les logiciels, et Internet aussi (le "monde électronique" on va dire), je crois qu'il y a aussi le fait de *remplir un vide* (qui n'est pas vide de le "monde réel")... le fait d'être *le premier*, fait que c'est comme si ça devenait une référence. Et comme le "monde électronique" est plus facilement accessible (pour le grand public en particulier), il finit par envahir le "monde réel". Finissant par influencer des règles, des standards, des normes, etc. qui existaient depuis longtemps... Et on touche aussi ici au format "de facto"...

  P.S. : Je me rend compte qu'il y a beaucoup de chose à dire sur ce sujet là...

• 6 De antistress - 08/11/2008, 02:49

  ...écrit-il depuis son Mac

• 7 De gros_bidule - 08/11/2008, 12:49

  Je comprends bien que l'informatique a une place de plus en plus importante dans nos habitudes, et même tout simplement dans nos vie ( quid de l'informatisation de la gestion des dossiers dans les OPAC / Offices HLM, maintenant OPH : la vie des locataires est déjà entièrement monitorée ^^ ).

  Par contre, je ne vois pas le lien avec le logiciel libre.

  Oui, le logiciel libre a maintenant son importance, peut être déjà (ou plutôt dans un futur encore quelque peu incertain) autant que le propriétaire, mais pourquoi l'associer dans ce sujet ?
  Nombre de décideurs se sentent rassurés par le propriétaire. je prends l'exemple de mon patron, qui nous "impose" un serveur d'application proprio (Websphere, d'IBM) alors que nous aurions la même chose en gratuit ET avec un support technique (dont le "vrai" support est payant). J'insiste sur le terme "gratuit", car ici le fait qu'il soit open-source et/ou libre, en freeware ou autre n'influe en aucun cas sur sa qualité.

  Tout ça pour dire que si le libre, ou peut être plutôt le gratuit, se fait son nid, on ne pourra PAS échapper à un modèle PAYANT (cf le support technique, tout bonnement irréalisable gratuitement; vous noterez que je considère les forums gratuits comme tput autre chose que du "vrai support". par support, j'entends non seulement quelqu'un au bout du fil / mail, mais aussi une obligation de résultat. Le soucis du 100% gratuit, c'est qu'en cas de problème sans solution auucne, vous êtes dans de beaux draps ....).

  Pourquoi OpenOffice, libre ET open-source, commence t-il a connaître un sucès plus que mérité en entreprise ? Tout simplement parce qu'il y a enfin une offre de support technique (qui lui est payant, et le restera).
  N'allons pas dire que c'est parce qu'il est open-source ou même libre, les effets de cette caractéritique ne se manifestant que depuis très, mais alors très peu de temps (notons aussi le rôle plus qu'important de Sun Microsystems dans tout ça, hein ?).
  Il en va de même pour les serveurs Linux, avec là non pas un support etchnique, mais plutôt des techniciens plus que compétents avec la formation qui va bien. Quant au fait qu'il soit libre ..... coïncidence ? je pense (et sur ce point on ne peut QUE penser) que Linux proprio mais gratuit et/ou open-source à la base, aurait connu le même succès.

  Alors oui l'informatique fait partie de nos vie, en plus de la conditionner.
  L'open-source surfe sur la vague du succès, on ne peut le nier.
  Quant au logiciel libre (par opposition au logiciel propriétaire; et notons qu'open-source ne rime pas toujours avec libre) .... pas sûr

  Vous l'aurez sans-doute compris; je rempalcerais volontier la dernière phrase du sujet par "... le logiciel OPEN SOURCE est quelque chose d'INEVITABLE pour notre futur" (tout comme l'offre proprio, ainsi que l'offre payante).

  That's all folks.

• 8 De lrbabe - 09/11/2008, 05:02

  @gros_bidule:
  Non, Linux proprio n'aurait jamais connu le même succès.
  Parce que Linux était à la base une copie d'UNIX, et que reste-t-il aujourd'hui des UNIX propriétaires ?

  Sur un plan strictement académique, je dirais que si tu ne vois pas de réponse au sujet, tu peux t'abstenir, plutôt que de faire un hors-sujet. Même si le débat est toujours bienvenue.

• 9 De ~laurent - 10/11/2008, 08:35

  Je retiens de ton texte la phrase qui me semble être centrale

  > l'auteur d'un logiciel a une influence importante ...
  > via ce qu'ils peuvent faire (ou pas) avec l'outil informatique

  Oui l'auteur d'un logiciel propriétaire aura tendance à "frustrer" ses utilisateur en par ex. :
  - les obligeant a souscrire un abonnement de maintenance,
  - les empêchant de migrer vers un autre logiciel,
  - ...

  Oui le logiciel libre est nécessaire, non pas comme solution meilleur à priori par rapport au logiciel propriétaire mais comme contre pouvoir, forçant le logiciel propriétaire à s'améliorer.

  Comme tu as posé une question je me permets d'en reposer une : est-ce que la sortie de Google Chrome ne va pas obliger mozilla à trouver rapidement d'autres sources de revenus que celle provenant de Google. Si oui quels sont les directions ?

• 10 De AM - 10/11/2008, 09:49

  L'association Toulousaine Toulibre est en train de réaliser une bâche visant à expliquer la notion de liberté d'un logiciel.

  http://matou.isanerd.net/wip/bache_...

  Il manque la dernière image, mais je trouve les explications très claires.

  HTH.

• 11 De Nicolas - 10/11/2008, 16:13

  "Le soucis du 100% gratuit, c'est qu'en cas de problème sans solution auucne, vous êtes dans de beaux draps ..."

  C'est pareil avec le proprio. As-tu eu déjà à faire dans le passé avec le support MS ?

  L'avantage pour un client du logiciel libre est que celui-ci est conçu par d'autre utilisateur. Il n'y a pas de volonté de "lockin" ou de force à l'upgrade.

• 12 De Benoît Pruneau - 11/11/2008, 05:27

  Trackback manuel: http://bpruneau.blogspot.com/2008/1...

• 13 De Sophie - 11/11/2008, 19:42

  Bonjour Tristan,
  Je pense que ce lien peut t'intéresser et notamment le pdf qui y est lié : Interaction Design Sketchbook et le chapitre Paradigms. Son analyse date déjà de 5 ans, mais elle n'a pas perdu de sa pertinence.
  http://blogs.sun.com/designatsun/en...
  Amicalement - Sophie